en:qui_a_tue_jfk

Différences

Ci-dessous, les différences entre deux révisions de la page.

Lien vers cette vue comparative

Prochaine révision
Révision précédente
en:qui_a_tue_jfk [2014/05/26 23:14] – créée fraggleen:qui_a_tue_jfk [2021/12/27 18:23] (Version actuelle) – modification externe 127.0.0.1
Ligne 12: Ligne 12:
 JFK était loin de représenter une quelconque forme de respectabilité pour Tito mais tout de même, sa curiosité professionnelle et personnelle est piqué au vif : Qui donc aurait bien pu souhaité la mort du nouveau maquereau de sa plus fidèle pute sous verre encore en vente libre ? JFK était loin de représenter une quelconque forme de respectabilité pour Tito mais tout de même, sa curiosité professionnelle et personnelle est piqué au vif : Qui donc aurait bien pu souhaité la mort du nouveau maquereau de sa plus fidèle pute sous verre encore en vente libre ?
  
-Le visage de Tito est buriné par les stigmates de cette relation, un peu comme les traces de griffures dans le dos oeuvre d’une maîtresse n’ayant pas raté la première marche de l’escalier vers le septième ciel (et encore moins les suivantes) lors d’une partie de jambe en l’air.+Le visage de Tito est buriné par les stigmates de cette relation, un peu comme les traces de griffures dans le dosoeuvre d’une maîtresse n’ayant pas raté la première marche de l’escalier vers le septième ciel (et encore moins les suivantes) lors d’une partie de jambe en l’air.
  
-"Pour quelles raisons auront on voulu tué JFK ?"+"Pour quelles raisons auront-on voulu tué JFK ?"
  
 L’imagination de Tito en matière de mobile de meurtre a toujours été fertile, même embrumée par les vapeurs d’alcools. L’imagination de Tito en matière de mobile de meurtre a toujours été fertile, même embrumée par les vapeurs d’alcools.
Ligne 27: Ligne 27:
  
 Tito finit par jeter un œil à la chambre tout en pensant à ce deuxième mobile et scénario. La chambre était ... spartiate : un lit deux places avec un matelas portant les stigmates du temps, une table de chevet en chêne sans fioritures surmonté d'une lampe à filaments sans abat-jour, des étagères le long du mur de la porte d'entrée, une fenêtre sans rideaux ni volets et un petit frigo faisant office de mini-bar. Bref, du grand luxe.     Tito finit par jeter un œil à la chambre tout en pensant à ce deuxième mobile et scénario. La chambre était ... spartiate : un lit deux places avec un matelas portant les stigmates du temps, une table de chevet en chêne sans fioritures surmonté d'une lampe à filaments sans abat-jour, des étagères le long du mur de la porte d'entrée, une fenêtre sans rideaux ni volets et un petit frigo faisant office de mini-bar. Bref, du grand luxe.    
 +
 +Tito s'allongea sur le lit et se mit dans la peau d'un clodo en manque en plein délire qui cherchait un responsable à sa privation. En s'imaginant la scène de ce clodo qui se rencarde sur l'adresse du PDG de l’entreprise fabricant la seule marque de whisky encore en vente, cherche une arme à feux, force la porte de l'appartement de JFK sans laisser de traces; il se rendit compte que un clodo délirant en manque n'aurait pas la vivacité d'esprit de mettre en place un plan pareil, où les traces laissées par le meurtrier sont absentes. 
 +
 +La fatigue commençait à prendre Tito. Ses paupières se faisaient lourdes. Il finit par sombrer dans un sommeil alcoolisé dont les rêves ne seraient que de pâles reflet de ses hantises.  
 +
  • en/qui_a_tue_jfk.1401138866.txt.gz
  • Dernière modification : il y a 2 ans
  • (modification externe)