Dans le conte qui suit, toute ressemblance avec des faits réels serait purement fortuite.
Il était une fois un duo de pervers narcissiques qui se connaissaient depuis longtemps et, forcement, vu leur fonctionnement se croyaient brillants. Et devant l'idée d'une somme alléchante d'argent ils se mirent à échafauder un plan, bien sur en accord avec leur psychologie, pour rafler la mise. Au fil de l'avancement de leur plan persuadés de son bon déroulement, ils ne s'aperçurent pas que la somme d'argent ainsi que son détenteur n'était qu'un pot de miel aux ingrédients délicieux pour leurs appétits posé savamment par des êtres qui vivent dans les murs pour contenir leurs vilenies. Les êtres, dans leur infini sagesse, ne voulant que le bien d’autrui, récoltèrent dans le pot de miel chaque trace de leurs agissements et les conservèrent précieusement en attendant le bon moment pour rétablir la balance. Et ainsi le couple refoulé de pervers continua négligemment son plan délirant en s'orientant des petits cailloux laissés par les êtres sur leurs cheminements. A chaque sailli de leurs agissements, qu'ils croyaient réussi, un extase d'ordre sexuel venaient les contenter dans leurs alcôves qu'ils voulaient garder secrètes. De la perversité mais de la perversité en couple refoulé de mâle. Foutre et perversité déversés dans le plus grand secret. De fil en aiguille leur vampirisation des âmes, qu'ils ne manqueraient pas de recouvrir sous un monceau de mensonges, affectaient durablement les avancements de leur vie non cachée. Les tristes sires se trouvèrent aux prises avec la légion des êtres sans s'en rendre compte. Et perdirent ainsi l'anonymat de leur désirs définitivement.